No More Hero Wii
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FORCEDUMAL
Kit Fisto
6 participants
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Re: No More Hero Wii
Je me le suis payer et je l'aurai vendredi le 12 sa va être trippant en gros c'est l'histoire d'un type qui ce paye un sabre électrique sur ebay et devient un assassin et devras remonte la liste des meilleurs pour devenir le best des best .
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: No More Hero Wii
Assez pour me le payer a mon avis lolollll.Mais je l'ai trouvé vraiment pas cher 24,99$cad au jean coutu du coin bilingue en plus héhé.Je doit dire que j'adore par dessus tout les jeux avec un flingue et un sabre .J'ai acheter une wii pour ma petite famille pour 2 raison principalement.Godzilla unleashed et la flo vas rire lolol,et red steel que j'ai dévorer si ont peut fire du début a la fin.Alors no more hero me le rapelle un peu ont verras je vous en redonnerai des nouvelles apres les premier teste lolololll.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: No More Hero Wii
Moi a 25$ je me le paye s'en hésité je vais prendre tout mon temps pour le faire.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: No More Hero Wii
Ben a 70$ chacun je croit pas mais the conduit le nouveau shooter action de ubisoft m'intéresse beaucoup.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: No More Hero Wii
ah, je croyais que le prix était encore de 25 dollars... bah si tu es plus style, tire, prend The Conduit
Re: No More Hero Wii
Plate-forme : Nintendo Wii (Wii)
Etat du jeu : Disponible
Prix au lancement : 60 €
Date de sortie française : 14 mars 2008
22 janvier 2008 (USA) - 6 décembre 2007 (Japon)
Genre : Action-Aventure
Appartient au groupe : No More Heroes
Jouable uniquement en solo
Développeur : Grasshopper Manufacture Inc.
Editeur : Rising Star Games Limited
Distributeur : Atari (Infogrames)
Site officiel : http://www.mmv.co.jp/special/game/wii/nomoreheroes
Travis Touchdown est un otaku comme mille autres : il passe ses
journées à regarder des dessins animés japonais, à nourrir son chat et
à soigner son look. Il ne quitte guère son motel minable que pour
enfourcher son roadster et aller s'acheter les dernières fringues à la
mode. Comme il faut bien faire quelque chose de sa vie, l'acquisition
d'un sabre laser sur E-Bay lui a permis dernièrement de se lancer dans
la profession d'assassin. Mais tuer des gens l'ennuie profondément, et
il aurait eu du mal à sortir de sa vie de raté s'il n'avait rencontré
cette fille au Death Match Bar. Agent canon de l'United Assassins
Association, elle lui a confié un contrat qui l'a propulsé 11ème
meilleur assassin de Santa Destroy. Et bien entendu, Travis n'a pas
envie de s'arrêter en si bon chemin, ne serait-ce que dans l'espoir
d'une nuit avec la belle. Il se met donc en tête de devenir le numéro 1
en éliminant les dix autres.No More Heroes est architecturé
autour de dix chapitres, consacrés chacun à l'élimination d'un des dix
tueurs à gages. Chacun de ces dix assassins est un peu le "boss" final
d'un niveau truffé de yakuzas à occire au préalable, même s'il paraît
un peu réducteur de parler en ces termes étant donné l'abandon des
conventions qui caractérise le jeu. Branché, grotesque, torturé,
extravagant ou déjanté : chaque boss possède un style et une
personnalité uniques. Certains sont très tarantinesques (on pense au
Dr. Peace ou à Shinobu), d'autres sont directement issus de la culture
manga (Death Metal, Holly Summers) ou des comics américains
(Destroyman). Chacune de ces rencontres bénéficie d'une mise en scène
originale et soignée, et se voit précédée de préliminaires tout
simplement jouissifs, que l'on passera sous silence pour éviter de vous
priver du plaisir de la découverte. Les affrontements eux-mêmes sont
autant de moments d'anthologie : on n'avait pas pris autant de plaisir
à lutter contre un boss depuis Shadow of the Colossus. On regrettera
par contre la disparition de l'aspect gore présent dans la version US
du jeu : les démembrements et les gerbes de sang ont disparu, emportant
avec eux la violence kitsch des mises à mort et leur dimension
transgressive à la Takashi Miike.Grasshoper a toutefois réussi à
préserver un certain esthétisme, puisque les effusions de sang ont été
remplacées par des effets rétro très stylés : les ennemis se dispersent
dans une explosion de pixels avant de retomber en poussière sur le sol,
pendant que des pièces de monnaie sortent de leur corps pour aller
rejoindre notre cagnotte. C'est à la fois insolite et nihiliste, décalé
et jubilatoire. Cet aspect rétrogaming est d'ailleurs omniprésent, des
menus du jeu aux séquences de power-up, en passant par l'incursion dans
les décors d'icônes tout droit sorties de nos vieux Atari 2600. Le
style graphique de No More Heroes est un hommage au pixel, aussi bien
au niveau artistique que technique : la 3D volontairement obsolète,
faite de modèles anguleux et de textures minimalistes, n'est qu'un
prétexte à la mise en place d'un aspect visuel inimitable hérité de
Killer7. Dans les faits, le cel shading se révèle l'arme idéale pour
renforcer le rendu comic-book kitsch tout en fluidifiant l'animation.
Le jeu témoigne d'une vraie démarche artistique héritée de Eric Chahi,
où priment la mise en scène et l'aspect cinématographique.A côté
de ça, Suda 51 a réussi le tour de force d'exploiter de façon tout à
fait concluante les capacités de la Wii : la jouabilité à la Wiimote et
au Nunchuk, qui ne souffre d'aucune critique, est au centre d'un
système de combat à la fois simple et complet, mais surtout très
dynamique. Travis dispose de plusieurs types d'attaques portées à
l'aide de son katana laser, mais il bénéficie aussi de mouvements
complémentaires destinés à se protéger ou à percer les défenses des
ennemis : coup de pied, parade, esquive, prise de lutte... Un système
de lock plutôt convaincant vient en appui à cette panoplie de
mouvements. Mais là où les combats deviennent particulièrement fun,
c'est qu'on ne peut faire taire définitivement ses adversaires qu'au
terme de finish moves facilement exécutables : il suffit de bouger la
télécommande dans le sens indiqué par la flèche. Un gameplay aussi
simple que grisant quand on commence à évoluer parmi les ennemis en
enchaînant les coups fatals et en ne laissant plus que cendres derrière
soi. Ceci dit, No More Heroes sait toujours rappeler le joueur à
l'ordre en assaisonnant cette épopée meurtrière d'une bonne dose de
dérision. En témoigne la façon de recharger votre sabre laser en
agitant frénétiquement la Wiimote, tandis qu'à l'écran Travis prend une
posture évoquant furieusement un geste d'onanisme.Jusque-là, No
More Heroes fait donc un sans-faute, mais l'expérience de jeu
incomparable qu'il procure se voit hélas ternie par un curieux parti
pris. Entre chacun des dix chapitres, Travis doit déambuler dans Santa
Destroy à la recherche de petits boulots pour financer son prochain
combat. Il faut alors parcourir à pied ou en moto, à la manière d'un
GTA, une ville aussi vaste que peu animée. En outre, si les petits jobs
"réglo" (ramasser des noix de coco, tondre la pelouse...) se révèlent
plutôt amusants et apportent la touche de dérision que l'on évoquait
plus haut, il n'en est pas de même des missions d'assassinat,
rébarbatives et répétitives. On s'en acquitte tant bien que mal pour
glaner les précieux dollars, dont on dépensera la moitié en tombant, au
coin d'une rue, sur une boutique à l'enseigne attrayante : magasin de
vêtements, vidéoclub, fabrique d'armes, salle d'entraînement... Le jeu
offre mille occasions de dilapider son précieux magot, et Travis pourra
conserver dans sa chambre toutes les babioles accumulées. Il reste que
ces phases en ville hachent terriblement la narration et le rythme du
jeu, et offrent au héros une pseudo-liberté d'action qui noie un peu le
propos.Si l'on ajoute à ce gros point noir quelques problèmes de
caméra particulièrement agaçants, on se rend compte qu'une fois de
plus, Grasshopper ne fait que frôler l'excellence. No More Heroes est
un vrai jeu d'auteur, radical et artistiquement engagé, qui ne plaira
certainement pas à tous car il n'a rien du jeu vidéo parfait. En
revanche, il a tout pour devenir un titre-culte et se frayer une place
à part dans le coeur des joueurs.Moins torturé, moins transgressif
et plus accessible qu'un Killer 7, No More Heroes n'en reste pas moins
le jeu original et mature qui faisait défaut à la Wii. Son ton décalé,
son style visuel unique, son inventivité constante et son gameplay
convaincant concourent à procurer une expérience de jeu inégalable,
bien qu'entachée de quelques problèmes techniques et de chutes de
rythme regrettables.
Sans conteste un des meilleurs jeux de la console.
Etat du jeu : Disponible
Prix au lancement : 60 €
Date de sortie française : 14 mars 2008
22 janvier 2008 (USA) - 6 décembre 2007 (Japon)
Genre : Action-Aventure
Appartient au groupe : No More Heroes
Jouable uniquement en solo
Développeur : Grasshopper Manufacture Inc.
Editeur : Rising Star Games Limited
Distributeur : Atari (Infogrames)
Site officiel : http://www.mmv.co.jp/special/game/wii/nomoreheroes
Travis Touchdown est un otaku comme mille autres : il passe ses
journées à regarder des dessins animés japonais, à nourrir son chat et
à soigner son look. Il ne quitte guère son motel minable que pour
enfourcher son roadster et aller s'acheter les dernières fringues à la
mode. Comme il faut bien faire quelque chose de sa vie, l'acquisition
d'un sabre laser sur E-Bay lui a permis dernièrement de se lancer dans
la profession d'assassin. Mais tuer des gens l'ennuie profondément, et
il aurait eu du mal à sortir de sa vie de raté s'il n'avait rencontré
cette fille au Death Match Bar. Agent canon de l'United Assassins
Association, elle lui a confié un contrat qui l'a propulsé 11ème
meilleur assassin de Santa Destroy. Et bien entendu, Travis n'a pas
envie de s'arrêter en si bon chemin, ne serait-ce que dans l'espoir
d'une nuit avec la belle. Il se met donc en tête de devenir le numéro 1
en éliminant les dix autres.No More Heroes est architecturé
autour de dix chapitres, consacrés chacun à l'élimination d'un des dix
tueurs à gages. Chacun de ces dix assassins est un peu le "boss" final
d'un niveau truffé de yakuzas à occire au préalable, même s'il paraît
un peu réducteur de parler en ces termes étant donné l'abandon des
conventions qui caractérise le jeu. Branché, grotesque, torturé,
extravagant ou déjanté : chaque boss possède un style et une
personnalité uniques. Certains sont très tarantinesques (on pense au
Dr. Peace ou à Shinobu), d'autres sont directement issus de la culture
manga (Death Metal, Holly Summers) ou des comics américains
(Destroyman). Chacune de ces rencontres bénéficie d'une mise en scène
originale et soignée, et se voit précédée de préliminaires tout
simplement jouissifs, que l'on passera sous silence pour éviter de vous
priver du plaisir de la découverte. Les affrontements eux-mêmes sont
autant de moments d'anthologie : on n'avait pas pris autant de plaisir
à lutter contre un boss depuis Shadow of the Colossus. On regrettera
par contre la disparition de l'aspect gore présent dans la version US
du jeu : les démembrements et les gerbes de sang ont disparu, emportant
avec eux la violence kitsch des mises à mort et leur dimension
transgressive à la Takashi Miike.Grasshoper a toutefois réussi à
préserver un certain esthétisme, puisque les effusions de sang ont été
remplacées par des effets rétro très stylés : les ennemis se dispersent
dans une explosion de pixels avant de retomber en poussière sur le sol,
pendant que des pièces de monnaie sortent de leur corps pour aller
rejoindre notre cagnotte. C'est à la fois insolite et nihiliste, décalé
et jubilatoire. Cet aspect rétrogaming est d'ailleurs omniprésent, des
menus du jeu aux séquences de power-up, en passant par l'incursion dans
les décors d'icônes tout droit sorties de nos vieux Atari 2600. Le
style graphique de No More Heroes est un hommage au pixel, aussi bien
au niveau artistique que technique : la 3D volontairement obsolète,
faite de modèles anguleux et de textures minimalistes, n'est qu'un
prétexte à la mise en place d'un aspect visuel inimitable hérité de
Killer7. Dans les faits, le cel shading se révèle l'arme idéale pour
renforcer le rendu comic-book kitsch tout en fluidifiant l'animation.
Le jeu témoigne d'une vraie démarche artistique héritée de Eric Chahi,
où priment la mise en scène et l'aspect cinématographique.A côté
de ça, Suda 51 a réussi le tour de force d'exploiter de façon tout à
fait concluante les capacités de la Wii : la jouabilité à la Wiimote et
au Nunchuk, qui ne souffre d'aucune critique, est au centre d'un
système de combat à la fois simple et complet, mais surtout très
dynamique. Travis dispose de plusieurs types d'attaques portées à
l'aide de son katana laser, mais il bénéficie aussi de mouvements
complémentaires destinés à se protéger ou à percer les défenses des
ennemis : coup de pied, parade, esquive, prise de lutte... Un système
de lock plutôt convaincant vient en appui à cette panoplie de
mouvements. Mais là où les combats deviennent particulièrement fun,
c'est qu'on ne peut faire taire définitivement ses adversaires qu'au
terme de finish moves facilement exécutables : il suffit de bouger la
télécommande dans le sens indiqué par la flèche. Un gameplay aussi
simple que grisant quand on commence à évoluer parmi les ennemis en
enchaînant les coups fatals et en ne laissant plus que cendres derrière
soi. Ceci dit, No More Heroes sait toujours rappeler le joueur à
l'ordre en assaisonnant cette épopée meurtrière d'une bonne dose de
dérision. En témoigne la façon de recharger votre sabre laser en
agitant frénétiquement la Wiimote, tandis qu'à l'écran Travis prend une
posture évoquant furieusement un geste d'onanisme.Jusque-là, No
More Heroes fait donc un sans-faute, mais l'expérience de jeu
incomparable qu'il procure se voit hélas ternie par un curieux parti
pris. Entre chacun des dix chapitres, Travis doit déambuler dans Santa
Destroy à la recherche de petits boulots pour financer son prochain
combat. Il faut alors parcourir à pied ou en moto, à la manière d'un
GTA, une ville aussi vaste que peu animée. En outre, si les petits jobs
"réglo" (ramasser des noix de coco, tondre la pelouse...) se révèlent
plutôt amusants et apportent la touche de dérision que l'on évoquait
plus haut, il n'en est pas de même des missions d'assassinat,
rébarbatives et répétitives. On s'en acquitte tant bien que mal pour
glaner les précieux dollars, dont on dépensera la moitié en tombant, au
coin d'une rue, sur une boutique à l'enseigne attrayante : magasin de
vêtements, vidéoclub, fabrique d'armes, salle d'entraînement... Le jeu
offre mille occasions de dilapider son précieux magot, et Travis pourra
conserver dans sa chambre toutes les babioles accumulées. Il reste que
ces phases en ville hachent terriblement la narration et le rythme du
jeu, et offrent au héros une pseudo-liberté d'action qui noie un peu le
propos.Si l'on ajoute à ce gros point noir quelques problèmes de
caméra particulièrement agaçants, on se rend compte qu'une fois de
plus, Grasshopper ne fait que frôler l'excellence. No More Heroes est
un vrai jeu d'auteur, radical et artistiquement engagé, qui ne plaira
certainement pas à tous car il n'a rien du jeu vidéo parfait. En
revanche, il a tout pour devenir un titre-culte et se frayer une place
à part dans le coeur des joueurs.Moins torturé, moins transgressif
et plus accessible qu'un Killer 7, No More Heroes n'en reste pas moins
le jeu original et mature qui faisait défaut à la Wii. Son ton décalé,
son style visuel unique, son inventivité constante et son gameplay
convaincant concourent à procurer une expérience de jeu inégalable,
bien qu'entachée de quelques problèmes techniques et de chutes de
rythme regrettables.
Sans conteste un des meilleurs jeux de la console.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: No More Hero Wii
lol bah merci pour toute l'histoire du jeu !!
ça me donne trop envie d'y jouer !!
ça me donne trop envie d'y jouer !!
Re: No More Hero Wii
Je vais le chercher demain le mien je vous tiendrai au courant de mes impressions.
FORCEDUMAL- Woa!
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48
19/11/2008
Re: No More Hero Wii
Dur a dire mais comme c'est souvent compare au gta j'imagine assez longtemps d'après moi .
FORCEDUMAL- Woa!
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48
19/11/2008
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