Ma liste de jeux Wii
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Z!FF
FORCEDUMAL
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Ultime MJMF :: Jeux Vidéo :: Nintendo
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Re: Ma liste de jeux Wii
disons que je peut pas trop parler de ça...mais je voudrais juste savoir,les cartes en multi-joueurs,elles ont changé beaucoup?
Re: Ma liste de jeux Wii
Z!FF a écrit:disons que je peut pas trop parler de ça...mais je voudrais juste savoir,les cartes en multi-joueurs,elles ont changé beaucoup?
Je comprend pas trop le sens de ta question elle ont changé par rapport a quoi?
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
bah...disons,par rapport au emplacement..Ex.: dans une map,sur n64 (comme kit me la dit mais je sais pas si c'est avec ce 007 là) on pars dans les toilets et on descend on tourne a gauche apre a droite encore a droite,monte les escalier ouvre les portes tourne a droit et nous re-voilà dans les toilets,estce que toutes les cartes sont exactement comme celle d'un autre 007?parce qu'il y a certains jeux(que j'ai pas acheter a cause de ça) qui sont super mais que le mode multi joueur est copier d^'un autre jeu de la série...c'est nul disons...
Re: Ma liste de jeux Wii
Moi j'ai fait plusieurs bond sur n64 et cube et a date non j'ai jouer une fois en ligne et c'était une map inconnue pour moi.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
Woaaaaaaa mon call of duty 5 est enfin dans mes mains toute moite d'impatience .De retour dans 3 ou 4 jours :: .
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
Aucune inquiétude je le ferai vous vous en doutez tous bien sur.Je vais bientôt l'essayer je veut me soigner d'abord j'ai attraper un foutu rhume .Et comme je l'ai tellement attendu je veut vraiment savourer le tout premier moment ou j'y jouerai pour la première fois.Car ont ne peut reprendre la toute première fois alors je vais attendre d'être en meilleur état le nez qui colle et le mal de tète typique a un rhume ne sont pas l'idéal pour essayer un jeux pour la première fois.Âpres presque 2 mois d'attente je peut bien attende 1 ou 2 jours de plus pour être en réel forme.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
T'inquiète en bon français sa me fait chier mais jva attendre d'aller mieux je veut surtout pas gâcher ce moment temps attendue.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
Moi aussi je l'ai c'est très intéressant et ça pratique vraiment rapidement et facilement son utilisation et les jeux de tir devienne du gâteau, même les plus compliqué
Re: Ma liste de jeux Wii
2 nouveau ce sont ajouter a ma liste qui s'alonge de plus en plus
Rapala's fishing frenzy
Alone in the dark
Pour m'aider a attendre the conduit.
Rapala's fishing frenzy
Alone in the dark
Pour m'aider a attendre the conduit.
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
Surement oui c'est un suvival horror style un peu resident evil.
Le papy des survival-horror, Edward Carnby, n'a
toujours pas trouvé l'interrupteur. Il nous revient en petite forme
dans un cinquième épisode d'Alone in the Dark. Cette nouvelle aventure
se déroule de nos jours dans un New York défiguré par d'étranges
fissures. Le célèbre inspecteur de l'étrange compte sur vous pour
l'aider à éclairer sa lanterne au sujet des phénomènes paranormaux qui
secouent Central Park.
"Alone in the Dark", voilà un nom qui sonne agréablement bien aux
oreilles des joueurs les plus expérimentés. Sortis dans les années 90,
les trois premiers volets de la série constituaient les précurseurs du
genre survival-horror en proposant des ambiances angoissantes dignes
d'une nouvelle de Lovecraft. Edward Carnaby nous avait déjà fait son
grand come-back il y a sept ans dans un épisode PSone plutôt réussi. Il
nous revient aujourd'hui dans une forme sensiblement différente suivant
le support sur lequel il débarque : la version Wii dont accouche
Hydravision propose un rendu graphique et un gameplay distincts de ceux
de la version next-gen développée par Eden. Autant le dire tout de
suite, bien que leur scénario soit identique, les deux versions ne se
valent pas. Le jeu Wii est bondé de bugs graphiques et de soucis de
maniabilité qui gâchent les quelques idées originales contenues dans ce
nouvel opus d'Alone in the Dark.
Vous pouvez accéder à toutes les séquences du jeu.La
particularité la plus flagrante de cet épisode tient à sa manière
originale d'aborder le déroulement du scénario. En effet l'histoire est
segmentée en dix épisodes contenant chacun plusieurs séquences. Il est
possible de choisir directement par quelle séquence on souhaite débuter
l'aventure. De cette manière vous n'avez plus aucune crainte de rester
bloqué par une énigme trop ardue ou par un boss un peu trop énervé. Si
vous choisissez de sauter un événement et de recommencer directement à
la séquence suivante, vous aurez droit à une cinématique récapitulant
ce que vous avez manqué. Cette construction bien particulière est
directement calquée sur le principe des séries américaines à suspense.
Tout est pensé pour que le joueur pressé puisse profiter de l'aventure
sans pour autant buter sur une séquence : même si vous avez choisi
d'apparaître directement dans le dernier épisode du jeu, votre
inventaire comprendra automatiquement l'équipement nécessaire minimum.
On accède à l'inventaire en ouvrant son manteau.Alone
in the Dark est à mi-chemin entre le jeu d'aventure, le survival-horror
classique et le jeu d'action : il alterne les phases de réflexion et
les phases de shoot ou de courses en voiture. Ce mélange est plutôt
bien amené : les énigmes ne se résument pas à des puzzles
maladroitement intégrés à l'histoire, il s'agit la plupart du temps
d'exploiter les éléments du décor en conservant le gameplay habituel.
Vous devrez par exemple enflammer une chaise puis la porter pour aller
brûler ce qui bloque le passage. Si vous ne comprenez pas ce qu'on vous
demande au premier coup d'oeil, vous avez toujours la possibilité de
fermer les paupières et les éléments avec lesquels vous devez interagir
apparaîtront alors en surbrillance. Malheureusement les phases de
conduite n'ont pas bénéficié du même soin : que vous soyez au volant
d'un taxi ou d'un chariot élévateur, n'espérez pas réussir votre course
dès le premier essai... Il faut avouer qu'il n'est pas facile de
contrôler un véhicule en inclinant le Nunchuk et la Wiimote.
Il faut parfois brûler des obstacles pour progresser.L'autre
grande particularité de cet Alone in the Dark, c'est que l'écran de jeu
est dépouillé de tout indicateur ou de toute jauge. N'espérez donc pas
retrouver de barre de vie : si la santé de votre personnage se dégrade,
il laisse derrière lui des taches de sang et sa vision s'obscurcit
petit à petit. Il faudra alors le soigner : en appuyant sur une touche
vous pouvez regarder ses blessures, les désinfecter puis les bander. De
la même façon l'inventaire n'est pas présenté à la manière d'un menu
particulier du jeu. En ouvrant votre veste vous avez accès aux
différents objets que vous portez sur vous. Il faut toutefois noter que
cette manoeuvre est particulièrement délicate à effectuer sur Wii. On
vous demande de faire pivoter les deux manettes vers l'extérieur et ce
geste enclenche souvent des actions non souhaitées comme la prise en
main d'un objet. La gestion des munitions est dans le même esprit que
le reste de l'inventaire : il vous faudra compter vous-même vos balles.
Il est aussi possible de combiner différents objets de façon plus ou
moins libre. Votre spray désinfectant peut ainsi se changer en un
véritable lance-flammes une fois qu'il est associé avec votre briquet.
Toutes ces bonnes idées auraient pu accoucher d'un jeu agréable et
innovant, mais de grosses difficultés de gameplay viennent perturber ce
tableau idyllique. Entre les phases de tir totalement imprécises,
l'absence de carte pour repérer les objectifs et d'innombrables bugs
graphiques, il est indéniable que cet Alone in the Dark fourmille de
défauts. On aurait pourtant bien aimé que le grand retour d'Edward
Carnby nous fasse un peu plus rêver...
Vidéo:
http://www.jeuxvideo.com/videos_editeurs/0001/00016876/alone_in_the_dark_f1q0.htm
Le papy des survival-horror, Edward Carnby, n'a
toujours pas trouvé l'interrupteur. Il nous revient en petite forme
dans un cinquième épisode d'Alone in the Dark. Cette nouvelle aventure
se déroule de nos jours dans un New York défiguré par d'étranges
fissures. Le célèbre inspecteur de l'étrange compte sur vous pour
l'aider à éclairer sa lanterne au sujet des phénomènes paranormaux qui
secouent Central Park.
"Alone in the Dark", voilà un nom qui sonne agréablement bien aux
oreilles des joueurs les plus expérimentés. Sortis dans les années 90,
les trois premiers volets de la série constituaient les précurseurs du
genre survival-horror en proposant des ambiances angoissantes dignes
d'une nouvelle de Lovecraft. Edward Carnaby nous avait déjà fait son
grand come-back il y a sept ans dans un épisode PSone plutôt réussi. Il
nous revient aujourd'hui dans une forme sensiblement différente suivant
le support sur lequel il débarque : la version Wii dont accouche
Hydravision propose un rendu graphique et un gameplay distincts de ceux
de la version next-gen développée par Eden. Autant le dire tout de
suite, bien que leur scénario soit identique, les deux versions ne se
valent pas. Le jeu Wii est bondé de bugs graphiques et de soucis de
maniabilité qui gâchent les quelques idées originales contenues dans ce
nouvel opus d'Alone in the Dark.
Vous pouvez accéder à toutes les séquences du jeu.La
particularité la plus flagrante de cet épisode tient à sa manière
originale d'aborder le déroulement du scénario. En effet l'histoire est
segmentée en dix épisodes contenant chacun plusieurs séquences. Il est
possible de choisir directement par quelle séquence on souhaite débuter
l'aventure. De cette manière vous n'avez plus aucune crainte de rester
bloqué par une énigme trop ardue ou par un boss un peu trop énervé. Si
vous choisissez de sauter un événement et de recommencer directement à
la séquence suivante, vous aurez droit à une cinématique récapitulant
ce que vous avez manqué. Cette construction bien particulière est
directement calquée sur le principe des séries américaines à suspense.
Tout est pensé pour que le joueur pressé puisse profiter de l'aventure
sans pour autant buter sur une séquence : même si vous avez choisi
d'apparaître directement dans le dernier épisode du jeu, votre
inventaire comprendra automatiquement l'équipement nécessaire minimum.
On accède à l'inventaire en ouvrant son manteau.Alone
in the Dark est à mi-chemin entre le jeu d'aventure, le survival-horror
classique et le jeu d'action : il alterne les phases de réflexion et
les phases de shoot ou de courses en voiture. Ce mélange est plutôt
bien amené : les énigmes ne se résument pas à des puzzles
maladroitement intégrés à l'histoire, il s'agit la plupart du temps
d'exploiter les éléments du décor en conservant le gameplay habituel.
Vous devrez par exemple enflammer une chaise puis la porter pour aller
brûler ce qui bloque le passage. Si vous ne comprenez pas ce qu'on vous
demande au premier coup d'oeil, vous avez toujours la possibilité de
fermer les paupières et les éléments avec lesquels vous devez interagir
apparaîtront alors en surbrillance. Malheureusement les phases de
conduite n'ont pas bénéficié du même soin : que vous soyez au volant
d'un taxi ou d'un chariot élévateur, n'espérez pas réussir votre course
dès le premier essai... Il faut avouer qu'il n'est pas facile de
contrôler un véhicule en inclinant le Nunchuk et la Wiimote.
Il faut parfois brûler des obstacles pour progresser.L'autre
grande particularité de cet Alone in the Dark, c'est que l'écran de jeu
est dépouillé de tout indicateur ou de toute jauge. N'espérez donc pas
retrouver de barre de vie : si la santé de votre personnage se dégrade,
il laisse derrière lui des taches de sang et sa vision s'obscurcit
petit à petit. Il faudra alors le soigner : en appuyant sur une touche
vous pouvez regarder ses blessures, les désinfecter puis les bander. De
la même façon l'inventaire n'est pas présenté à la manière d'un menu
particulier du jeu. En ouvrant votre veste vous avez accès aux
différents objets que vous portez sur vous. Il faut toutefois noter que
cette manoeuvre est particulièrement délicate à effectuer sur Wii. On
vous demande de faire pivoter les deux manettes vers l'extérieur et ce
geste enclenche souvent des actions non souhaitées comme la prise en
main d'un objet. La gestion des munitions est dans le même esprit que
le reste de l'inventaire : il vous faudra compter vous-même vos balles.
Il est aussi possible de combiner différents objets de façon plus ou
moins libre. Votre spray désinfectant peut ainsi se changer en un
véritable lance-flammes une fois qu'il est associé avec votre briquet.
Toutes ces bonnes idées auraient pu accoucher d'un jeu agréable et
innovant, mais de grosses difficultés de gameplay viennent perturber ce
tableau idyllique. Entre les phases de tir totalement imprécises,
l'absence de carte pour repérer les objectifs et d'innombrables bugs
graphiques, il est indéniable que cet Alone in the Dark fourmille de
défauts. On aurait pourtant bien aimé que le grand retour d'Edward
Carnby nous fasse un peu plus rêver...
Vidéo:
http://www.jeuxvideo.com/videos_editeurs/0001/00016876/alone_in_the_dark_f1q0.htm
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
Autre nouveau qui vient tout juste de s'ajouter a ma liste mon trip survival-horror ma reprit 2 en 2 jour.
Le teenage-movie mâtiné de survival-horror
débarque sur nos Wii en la personne d'Obscure II. Toujours développé
par Hydravision, ce projet, qui ne date pas d'hier, reprend les mêmes
ficelles que son aîné en décalquant son système de jeu tout en
s'abreuvant de séries américaines pour adolescents et de divers films
d'horreur. Cependant, si la recette est la même, la proportion
d'ingrédients utilisée est légèrement différente, ceci donnant au
résultat final une saveur un peu particulière.
Difficile de dire à quoi est dû la renaissance d'Obscure II qui,
pour des raisons économiques (voire ésotériques), n'avait pu sortir en
temps et en heures il y a quelques années. Peut-on y voir une volonté
de Playlogic de profiter du succès de la Wii ainsi que du revival du
film d'horreur aux US grâce, notamment, à Michael Bay, producteur de
nombreux remakes de films cultes sortis (Massacre à la tronçonneuse,
Amityville, The Hitcher) dans les années 80 et 90 ? Possible, puisqu'on
sent bien la volonté des développeurs d'avoir voulu faire de cette
suite, un jeu certes dans la droite lignée du premier Obscure, tout en
l'expurgeant d'une bonne partie de son humour noir, de son second
degré. Pourtant, l'histoire n'en reste pas moins volontairement kitsch
avec une aventure se déroulant à Fallcreek, ville voisine de Leafmore,
théâtre des événements du premier opus, à nouveau dans un campus envahi
par de mystérieuses fleurs ayant la désagréable habitude de transformer
nos pires cauchemars en réalité.
J'aime bien la déco. Un tantinet rustique peut-être.Et
nous voilà repartis pour des déambulations périlleuses entrecoupées de
punchlines bien senties et autres réflexions métaphysiques de la part
d'étudiants nourris à la bière et au chichon. C'est pourtant sur cette
clique de super-zéros que nous allons devoir compter pour mener à bien
cette enquête de Scoubidou au pays de Body Snatchers. Comme
précédemment, le jeu se découpe en chapitres (une quinzaine environ)
dans lesquels vous aurez à diriger deux personnages. Il arrivera
cependant que l'équipe soit au grand complet, ce qui impliquera de
choisir vos deux membres. A ce sujet, on reprochera aux développeurs de
ne pas avoir revu un point perfectible du premier épisode qui demandait
de souvent revenir voir notre petite troupe pour choisir un autre ado.
ayant les compétences requises pour résoudre une équipe. Un peu
lourdingue même si ce soucis est ici atténué par le simple fait que
dans 90% des cas, les niveaux se jouent avec un seul et unique duo.
Bref, vous devrez alors mettre à profit les compétences de vos ouailles
pixélisées, Kenny ou Sven pouvant pousser des objets massifs, Stan
crochetant les serrures, Mei tenant le rôle de hackeuse aguerrie, Amy
étant à même de déchiffrer des puzzles malgré son statut de Miss
tee-shirt mouillé, etc. Au total, six personnages sont jouables
auxquels on rajoutera le professeur James détenteur d'un savoir pouvant
nous être bien utile.
Ca sent le birdie !La
façon de procéder est donc similaire à celle d'Obscure et bien qu'on y
trouve de nouvelles énigmes, des armes supplémentaires ou divers
passages inédits (dont une séquence en barque renvoyant un peu à celle
de Silent Hill 2, avec quelques monstres en plus à dégommer), on reste
en terrain connu. Toutefois, Obscure II se veut moins exclusif dans ses
ambiances qui empruntent ici au teen-movie bien entendu mais aussi au
survival de Konami ou à Leatherface via un boogeyman armé d'une
tronçonneuse venant nous titiller les oreilles à plusieurs reprises. De
fait, l'histoire se laisse suivre même si elle reste moins immersive
(l'absence d'effets de surprise n'étant pas étrangère à cet état de
faits) que celle de son aïeul. Pour revenir sur le jeu en lui-même,
signalons aussi une autre différence importante avec le premier Obscure
qui veut que désormais si un de vos personnages meurt, ce sera
immédiatement synonyme de fin de partie. Dommage, car cet aspect du
premier Obscure était vraiment intéressant et rajoutait à l'angoisse du
joueur qui devait dès lors faire très attention à ses petits protégés.
La plupart des énigmes ne vous survivront pas très longtemps.Ceci
peut paraître paradoxal mais en définitive, la construction plus
narrative d'Obscure 2 délaisse la liberté au profit du récit. C'est un
choix, discutable, qui a ses avantages et ses inconvénients. Ensuite,
bien qu'on dispose de beaucoup plus d'armes, il est regrettable que
l'idée de la lumière pour éliminer les monstres (élément repris entre
autres de Alone In The Dark : The New Nightmare) ait été presque
totalement abandonnée en cours de route. Bizarre, tout comme l'aspect
graphique bien plus terne que celui du premier volet. Au final, Obscure
II est un soft qu'on prend du plaisir à parcourir, seul ou à deux, mais
qui ne passionne (toutes proportions mises à part) plus autant que son
grand frère. Est-ce dû également à des caméras pas toujours bien
placées qui nous obligent souvent à recentrer l'objectif à grands coups
de Wiimote, l'intelligence toute relative de nos copains et copines de
chambrée ou simplement à un certain conformisme global ? Je vous laisse
répondre à cette interrogation mais pour l'heure, saluons tout de même
Hydravision qui a dû passer par bien des étapes avant de pouvoir nous
livrer un jeu bancal, plus fade que l'original mais loin d'être
désagréable.
Le teenage-movie mâtiné de survival-horror
débarque sur nos Wii en la personne d'Obscure II. Toujours développé
par Hydravision, ce projet, qui ne date pas d'hier, reprend les mêmes
ficelles que son aîné en décalquant son système de jeu tout en
s'abreuvant de séries américaines pour adolescents et de divers films
d'horreur. Cependant, si la recette est la même, la proportion
d'ingrédients utilisée est légèrement différente, ceci donnant au
résultat final une saveur un peu particulière.
Difficile de dire à quoi est dû la renaissance d'Obscure II qui,
pour des raisons économiques (voire ésotériques), n'avait pu sortir en
temps et en heures il y a quelques années. Peut-on y voir une volonté
de Playlogic de profiter du succès de la Wii ainsi que du revival du
film d'horreur aux US grâce, notamment, à Michael Bay, producteur de
nombreux remakes de films cultes sortis (Massacre à la tronçonneuse,
Amityville, The Hitcher) dans les années 80 et 90 ? Possible, puisqu'on
sent bien la volonté des développeurs d'avoir voulu faire de cette
suite, un jeu certes dans la droite lignée du premier Obscure, tout en
l'expurgeant d'une bonne partie de son humour noir, de son second
degré. Pourtant, l'histoire n'en reste pas moins volontairement kitsch
avec une aventure se déroulant à Fallcreek, ville voisine de Leafmore,
théâtre des événements du premier opus, à nouveau dans un campus envahi
par de mystérieuses fleurs ayant la désagréable habitude de transformer
nos pires cauchemars en réalité.
J'aime bien la déco. Un tantinet rustique peut-être.Et
nous voilà repartis pour des déambulations périlleuses entrecoupées de
punchlines bien senties et autres réflexions métaphysiques de la part
d'étudiants nourris à la bière et au chichon. C'est pourtant sur cette
clique de super-zéros que nous allons devoir compter pour mener à bien
cette enquête de Scoubidou au pays de Body Snatchers. Comme
précédemment, le jeu se découpe en chapitres (une quinzaine environ)
dans lesquels vous aurez à diriger deux personnages. Il arrivera
cependant que l'équipe soit au grand complet, ce qui impliquera de
choisir vos deux membres. A ce sujet, on reprochera aux développeurs de
ne pas avoir revu un point perfectible du premier épisode qui demandait
de souvent revenir voir notre petite troupe pour choisir un autre ado.
ayant les compétences requises pour résoudre une équipe. Un peu
lourdingue même si ce soucis est ici atténué par le simple fait que
dans 90% des cas, les niveaux se jouent avec un seul et unique duo.
Bref, vous devrez alors mettre à profit les compétences de vos ouailles
pixélisées, Kenny ou Sven pouvant pousser des objets massifs, Stan
crochetant les serrures, Mei tenant le rôle de hackeuse aguerrie, Amy
étant à même de déchiffrer des puzzles malgré son statut de Miss
tee-shirt mouillé, etc. Au total, six personnages sont jouables
auxquels on rajoutera le professeur James détenteur d'un savoir pouvant
nous être bien utile.
Ca sent le birdie !La
façon de procéder est donc similaire à celle d'Obscure et bien qu'on y
trouve de nouvelles énigmes, des armes supplémentaires ou divers
passages inédits (dont une séquence en barque renvoyant un peu à celle
de Silent Hill 2, avec quelques monstres en plus à dégommer), on reste
en terrain connu. Toutefois, Obscure II se veut moins exclusif dans ses
ambiances qui empruntent ici au teen-movie bien entendu mais aussi au
survival de Konami ou à Leatherface via un boogeyman armé d'une
tronçonneuse venant nous titiller les oreilles à plusieurs reprises. De
fait, l'histoire se laisse suivre même si elle reste moins immersive
(l'absence d'effets de surprise n'étant pas étrangère à cet état de
faits) que celle de son aïeul. Pour revenir sur le jeu en lui-même,
signalons aussi une autre différence importante avec le premier Obscure
qui veut que désormais si un de vos personnages meurt, ce sera
immédiatement synonyme de fin de partie. Dommage, car cet aspect du
premier Obscure était vraiment intéressant et rajoutait à l'angoisse du
joueur qui devait dès lors faire très attention à ses petits protégés.
La plupart des énigmes ne vous survivront pas très longtemps.Ceci
peut paraître paradoxal mais en définitive, la construction plus
narrative d'Obscure 2 délaisse la liberté au profit du récit. C'est un
choix, discutable, qui a ses avantages et ses inconvénients. Ensuite,
bien qu'on dispose de beaucoup plus d'armes, il est regrettable que
l'idée de la lumière pour éliminer les monstres (élément repris entre
autres de Alone In The Dark : The New Nightmare) ait été presque
totalement abandonnée en cours de route. Bizarre, tout comme l'aspect
graphique bien plus terne que celui du premier volet. Au final, Obscure
II est un soft qu'on prend du plaisir à parcourir, seul ou à deux, mais
qui ne passionne (toutes proportions mises à part) plus autant que son
grand frère. Est-ce dû également à des caméras pas toujours bien
placées qui nous obligent souvent à recentrer l'objectif à grands coups
de Wiimote, l'intelligence toute relative de nos copains et copines de
chambrée ou simplement à un certain conformisme global ? Je vous laisse
répondre à cette interrogation mais pour l'heure, saluons tout de même
Hydravision qui a dû passer par bien des étapes avant de pouvoir nous
livrer un jeu bancal, plus fade que l'original mais loin d'être
désagréable.
- Editeur : Playlogic International
- Développeur : Hydravision
- Type : Survival-Horror
- Support : DVD
- Multijoueurs : 2 joueurs
- Sortie France : 23 mai 2008
(25 mars 2008 aux Etats-Unis) - Version : Textes en français, voix en anglais
- Classification : Déconseillé aux - de 16 ans
FORCEDUMAL- Woa!
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19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
J'aime beaucoup les 2 alone en vf bien bon petit survival qui ce laisse faire lentement.Pour obscure 2 la c'est autre chose excellent aussi st fr mais une chose en particulier a n'importe quelle moment quelqu'un peu embarquer avec moi dans la game en cour et contrôle le 2iem perso dans le même écran ce qui est assez cool et rare sa disons.En mode co-op constament ce qui ma foi est fort agréable fouiller a 2 ce battre a 2 je jouais avec mon garcon et ont affrontais les premiere créature que l'ont avait rencontrer et paf il sais fait arracher la tete..
FORCEDUMAL- Woa!
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1611
48
19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
ouch décapitation total et rapide! mais quand tu dis "a n'importe quelle moment quelqu'un peu embarquer avec moi dans la game en cour"
n'IMPORTE QUEL MOMENT?
n'IMPORTE QUEL MOMENT?
Re: Ma liste de jeux Wii
Oui a n'importe qu'elle moment voit tu ce jeux fonctionne du même principe que resident evil 5 mais date de 2007 il y a toujours 2 perso dans le jeux même en jouant seul l'autre te suis et t'aide de temp en temp mais un joueur peu activé la 2iem wiimote et embarquer aussitot dans la game en prenant controle du 2 iem perso meme chose dans resident evil 5.Alors a ce moment la le 2iem t'aide beaucoup plus que la I.A. du jeux .
N'importe quand n'importe ou du moment qui a un 2iem perso avec le joueur 1!!!!!!!
N'importe quand n'importe ou du moment qui a un 2iem perso avec le joueur 1!!!!!!!
FORCEDUMAL- Woa!
-
1611
48
19/11/2008
Re: Ma liste de jeux Wii
c'est c'est ce que j'aime le plus d'un jeu,même si le phénomène est récent,j'adore ce genre de mode 2 joueurs!
Re: Ma liste de jeux Wii
Et merde y m'ont apeller 4 jour plus tard il plus mon jeux j'avais commander pu de frenzy .Mais bon j'ai rien perdu au change je me suis sa a la place ce midi héhé.
Après avoir lancé son Avant-Garde sur Wii en mars
dernier, l'indéboulonnable série "Seconde Guerre mondialeuse"
d'Electronic Arts nous revient aujourd'hui avec un nouveau DVD rempli
d'obus, de corps démantibulés et de cris gutturaux. Et joie, bonheur et
allégresse, le soft bénéficie de contrôles revus et corrigés qui, pour
la première fois dans un FPS classique sur Wii, procurent un véritable
confort de jeu. Voilà qui devrait enfin nous permettre de profiter de
ce qui s'annonce indubitablement comme le meilleur support multijoueur
de la console, un multi goûteux et qui du coup, éclipse impitoyablement
une campagne mollassonne, sans envergure ni éclat. Grandes réussites et
défauts agaçants se côtoient donc dans un joyeux bazar que nous allons
maintenant tenter de démêler ensemble.
Afin de laisser derrière nous les sujets qui fâchent, je vous
propose tout d'abord de passer rapidement sur cette campagne éclair
d'un agent de l'OSS envoyé sur le front pour gagner la guerre à lui
tout seul. Le scénario y est très accessoire et se borne à quelques
briefings rapides lors desquels on vous apprend généralement que votre
objectif est capital, que l'issue de la guerre en dépend et qu'il va
falloir assurer comme une bête. Lors de chaque mission, linéaire au
possible, on devra donc remplir un certain nombre d'objectifs primaires
et secondaires afin d'empocher des médailles qui ne serviront qu'à
renforcer notre orgueil déjà démesuré. Prise d'assaut d'une plage
normande, destruction de sous-marins, de batteries de DCA, nettoyage
d'un village, fuite dans des égouts infestés de soldats, tout se montre
fondamentalement classique mais a au moins le mérite de vous faire
visiter des environnements variés, même si nettement moins sexy et
moins soignés que dans Avant-Garde. Les joueurs ayant déjà tâté de la
version PSP de Heroes 2 reconnaîtront d'ailleurs les mêmes niveaux,
puisque la campagne est presque exactement la même que celle offerte
par le jeu sur la portable.
On peut très facilement se pencher hors de sa cachette pour lâcher quelques balles. Et tant pis pour Tic et Tac.Accompagné
par d'autres soldats inefficaces, dont les principales fonctions
consistent à attirer une petite partie du feu ennemi et à brailler
comme des gorets pris dans un feu de forêt, il faudra nettoyer des
zones entières en usant d'une petite sélection d'armes typiques de la
Seconde Guerre mondiale. La mise en scène est tout juste convenable,
sent souvent le réchauffé, et repose comme à l'accoutumée sur des
séquences scriptées et des apparitions précalculées et pas naturelles
pour un sou de soldats ennemis vociférants. En effet, si l'on en croit
EA, la Wehrmarcht avait manifestement mis au point des générateurs de
troufions reliés à des vortex de téléportation instantanée. Et pour
reprendre une comparaison habile qui figurait déjà dans le test d'un
des derniers opus de Medal Of Honor, l'IA dont on a affublé les pauvres
soldats en question est du niveau de celle de Call Of Duty 3. Les
ennemis semblent donc avoir le QI d'une petite cuillère et tentent tant
bien que mal (plutôt mal en fait) de se planquer derrière les nombreux
obstacles qui jonchent le terrain. Manque de bol, ils omettent souvent
de protéger leur caboche et laissent toujours traîner des parties de
leur corps musclé sous votre petit réticule, parties que vous vous
empresserez alors de truffer de plomb pour pas un rond. Et comme à
l'époque bénie de la N64, ces pauvres bougres auront à peine touché le
sol dur et froid du champ de bataille que leur misérable corps
disparaîtra aussi sec dans le néant vidéoludique. Etrange retour dans
le passé que nous offre donc cette campagne apathique et sans âme qu'on
aura déjà eu l'impression de traverser à de nombreuses reprises dans
d'autres jeux et à d'autres époques.
Franchement, je les hais.Mais
voilà, on prend tout de même un certain plaisir à traverser ces
couloirs enfumés, pour la simple et bonne raison que le jeu bénéficie
de contrôles adaptés et relativement bien pensés (sauf peut-être
lorsqu'il s'agira de sniper comme un sagouin). La base pourtant, reste
la même que dans les autres FPS sur Wii : on utilise la Wiimote pour
pointer et déplacer le curseur sur les cibles et ce bon vieux Nunchuk
pour les déplacements du personnage. La visée de base est légèrement
assistée et votre réticule passe au rouge quand un combattant adverse a
l'obligeance de se présenter dans votre ligne de tir. Le rechargement,
le choix de l'arme et le changement de position (debout ou accroupi)
eux, ne dépendent plus d'un quelconque mouvement malhabile à imprimer
au Nunchuk mais sont maintenant affiliés à la croix directionnelle.
Certes, c'est moins "hype" que de secouer du Nunchuk comme un prunier,
mais c'est tout de même nettement plus fonctionnel. Cela dit, lorsque
vous épaulerez votre arme en appuyant sur le bouton A, incliner le
Nunchuk à droite ou à gauche permettra à votre soldat de se pencher
hors de sa couverture pour lâcher quelques pruneaux (oui, je suis
obsédé par les prunes, et alors ?) sans trop s'exposer au feu. Le petit
compagnon de la Wiimote n'est donc pas totalement laissé de côté, mais
se trouve plutôt utilisé avec justesse pour une action que vous ne
risquez pas de déclencher sans le vouloir. Ajoutons à cela une action
dont la vitesse a été, semble-t-il, sensiblement accélérée par rapport
au dernier épisode, et nous obtenons un jeu nettement plus nerveux et
plaisant à tripoter que par le passé.
La Wiimote est rarement prise en défaut, mais pour sniper, il va falloir s'accrocher.Notons
enfin quelques actions contextuelles rigolotes et surprenantes, comme
l'utilisation ponctuelle d'un lance-roquettes, pour laquelle on devra
placer la Wiimote sur son épaule afin de mimer le mouvement du soldat.
Ou encore ce moment où le joueur devra trouver la fréquence du QG allié
sur une radio allemande en inclinant la Wiimote comme s'il s'agissait
d'un des boutons de l'appareil. Plus classique, mais toujours aussi
sympathique, les lancers de grenade que vous devrez plus ou moins
effectuer comme on vous l'a appris lors des JAPD. Bon, il faudra aussi
compter avec quelques ratés, comme le corps-à-corps, pour lequel il
faudra balancer Wiimote et Nunchuk en avant afin de donner un coup de
crosse, et qui vous fera donc perdre votre réticule de vue. Bref,
stoppons-là cette description et déclarons simplement que malgré
quelques petits soucis, Medal of Honor : Heroes 2 est incontestablement
le FPS le plus jouable et le plus agréable à prendre en main de la Wii.
Le jeu parvient même, en termes de visée, à être plus précis que ses
congénères 360 ou PS3. Alors heureux ?
Ici, vous avez le choix entre un concert de Tokio Hotel et la voix suave de votre supérieur hiérarchique.Avant
de continuer et de parler de ce qui fait tout de même tout le charme de
cette galette, il me faut mentionner la présence d'un mode atypique
sobrement nommé Arcade, et qui vous permettra tout simplement de
retraverser les niveaux de la campagne à la mode Virtua Cop, ou Ghost
Squad pour faire référence à un titre Wii. Entendez par là que vous
n'aurez plus à gérer vos mouvements et que vous foncerez dans les
niveaux sur des rails, votre seul et unique but n'étant plus alors que
de shooter un maximum d'ennemis afin de figurer sur le tableau des
scores. Ce mode, que vous pourrez d'ailleurs pratiquer en usant du Wii
Zapper, n'est pas forcément très intéressant, puisqu'il repose sur des
bases qui n'ont pas été prévues pour ce type de gameplay. Reste qu'il
constitue malgré tout un bon divertissement, capable de nous faire
oublier pendant quelques minutes la désespérante platitude de la
campagne. Mais voilà, c'est n'est là qu'un petit à-côté, un petit bonus
sympathique destiné à vous distraire lors d'une coupure inattendue de
votre connexion internet...
Le mode Arcade vous invite à dégommer tout ce qui bouge dans la plus pure tradition des Virtua Cop. Les teutons en plus.Car
nous y voilà enfin dans ce fameux petit paragraphe que vous attendiez
tous, celui-là même où il sera question de joueurs qui s'éventrent
joyeusement sur le net dans un tourbillon d'entrailles fumantes et de
shrapnel. Oui, Medal Of Honor : Heroes 2 permet bien à 32 bourrins
avides de frags de se rencontrer sur le net. Certes, les trois modes
proposés ne font pas dans la dentelle, puisqu'il s'agira simplement de
captures de drapeaux et de matchs à mort en solo ou en équipe, mais
avec autant de joueurs dans les starting-blocks, on se retrouve avec un
titre qui pétarade de tous les côtés en excluant d'emblée tout temps
mort. Les parties prennent place sur des niveaux inspirés de ceux de la
campagne, des niveaux légèrement retouchés pour convenir aux parties
multijoueurs et qui s'avèrent relativement bien équilibrés. Avec un lag
modéré, des contrôles enfin réactifs et une action nettement plus
nerveuse que dans l'opus précédent, Medal Of Honor : Heroes 2 démontre
enfin que jouer online, à un FPS qui plus est, n'est pas seulement
réservé aux machines concurrentes. Mais tout n'est pas kaki au royaume
des troufions, car il est vrai que l'absence de chat vocal n'aide pas à
coordonner les assauts pendant les parties en équipe. Du coup, les
matchs ont souvent tendance à sombrer dans le chaos le plus total. Mais
les joueurs penseront-ils vraiment à s'en plaindre ?
Après avoir lancé son Avant-Garde sur Wii en mars
dernier, l'indéboulonnable série "Seconde Guerre mondialeuse"
d'Electronic Arts nous revient aujourd'hui avec un nouveau DVD rempli
d'obus, de corps démantibulés et de cris gutturaux. Et joie, bonheur et
allégresse, le soft bénéficie de contrôles revus et corrigés qui, pour
la première fois dans un FPS classique sur Wii, procurent un véritable
confort de jeu. Voilà qui devrait enfin nous permettre de profiter de
ce qui s'annonce indubitablement comme le meilleur support multijoueur
de la console, un multi goûteux et qui du coup, éclipse impitoyablement
une campagne mollassonne, sans envergure ni éclat. Grandes réussites et
défauts agaçants se côtoient donc dans un joyeux bazar que nous allons
maintenant tenter de démêler ensemble.
Afin de laisser derrière nous les sujets qui fâchent, je vous
propose tout d'abord de passer rapidement sur cette campagne éclair
d'un agent de l'OSS envoyé sur le front pour gagner la guerre à lui
tout seul. Le scénario y est très accessoire et se borne à quelques
briefings rapides lors desquels on vous apprend généralement que votre
objectif est capital, que l'issue de la guerre en dépend et qu'il va
falloir assurer comme une bête. Lors de chaque mission, linéaire au
possible, on devra donc remplir un certain nombre d'objectifs primaires
et secondaires afin d'empocher des médailles qui ne serviront qu'à
renforcer notre orgueil déjà démesuré. Prise d'assaut d'une plage
normande, destruction de sous-marins, de batteries de DCA, nettoyage
d'un village, fuite dans des égouts infestés de soldats, tout se montre
fondamentalement classique mais a au moins le mérite de vous faire
visiter des environnements variés, même si nettement moins sexy et
moins soignés que dans Avant-Garde. Les joueurs ayant déjà tâté de la
version PSP de Heroes 2 reconnaîtront d'ailleurs les mêmes niveaux,
puisque la campagne est presque exactement la même que celle offerte
par le jeu sur la portable.
On peut très facilement se pencher hors de sa cachette pour lâcher quelques balles. Et tant pis pour Tic et Tac.Accompagné
par d'autres soldats inefficaces, dont les principales fonctions
consistent à attirer une petite partie du feu ennemi et à brailler
comme des gorets pris dans un feu de forêt, il faudra nettoyer des
zones entières en usant d'une petite sélection d'armes typiques de la
Seconde Guerre mondiale. La mise en scène est tout juste convenable,
sent souvent le réchauffé, et repose comme à l'accoutumée sur des
séquences scriptées et des apparitions précalculées et pas naturelles
pour un sou de soldats ennemis vociférants. En effet, si l'on en croit
EA, la Wehrmarcht avait manifestement mis au point des générateurs de
troufions reliés à des vortex de téléportation instantanée. Et pour
reprendre une comparaison habile qui figurait déjà dans le test d'un
des derniers opus de Medal Of Honor, l'IA dont on a affublé les pauvres
soldats en question est du niveau de celle de Call Of Duty 3. Les
ennemis semblent donc avoir le QI d'une petite cuillère et tentent tant
bien que mal (plutôt mal en fait) de se planquer derrière les nombreux
obstacles qui jonchent le terrain. Manque de bol, ils omettent souvent
de protéger leur caboche et laissent toujours traîner des parties de
leur corps musclé sous votre petit réticule, parties que vous vous
empresserez alors de truffer de plomb pour pas un rond. Et comme à
l'époque bénie de la N64, ces pauvres bougres auront à peine touché le
sol dur et froid du champ de bataille que leur misérable corps
disparaîtra aussi sec dans le néant vidéoludique. Etrange retour dans
le passé que nous offre donc cette campagne apathique et sans âme qu'on
aura déjà eu l'impression de traverser à de nombreuses reprises dans
d'autres jeux et à d'autres époques.
Franchement, je les hais.Mais
voilà, on prend tout de même un certain plaisir à traverser ces
couloirs enfumés, pour la simple et bonne raison que le jeu bénéficie
de contrôles adaptés et relativement bien pensés (sauf peut-être
lorsqu'il s'agira de sniper comme un sagouin). La base pourtant, reste
la même que dans les autres FPS sur Wii : on utilise la Wiimote pour
pointer et déplacer le curseur sur les cibles et ce bon vieux Nunchuk
pour les déplacements du personnage. La visée de base est légèrement
assistée et votre réticule passe au rouge quand un combattant adverse a
l'obligeance de se présenter dans votre ligne de tir. Le rechargement,
le choix de l'arme et le changement de position (debout ou accroupi)
eux, ne dépendent plus d'un quelconque mouvement malhabile à imprimer
au Nunchuk mais sont maintenant affiliés à la croix directionnelle.
Certes, c'est moins "hype" que de secouer du Nunchuk comme un prunier,
mais c'est tout de même nettement plus fonctionnel. Cela dit, lorsque
vous épaulerez votre arme en appuyant sur le bouton A, incliner le
Nunchuk à droite ou à gauche permettra à votre soldat de se pencher
hors de sa couverture pour lâcher quelques pruneaux (oui, je suis
obsédé par les prunes, et alors ?) sans trop s'exposer au feu. Le petit
compagnon de la Wiimote n'est donc pas totalement laissé de côté, mais
se trouve plutôt utilisé avec justesse pour une action que vous ne
risquez pas de déclencher sans le vouloir. Ajoutons à cela une action
dont la vitesse a été, semble-t-il, sensiblement accélérée par rapport
au dernier épisode, et nous obtenons un jeu nettement plus nerveux et
plaisant à tripoter que par le passé.
La Wiimote est rarement prise en défaut, mais pour sniper, il va falloir s'accrocher.Notons
enfin quelques actions contextuelles rigolotes et surprenantes, comme
l'utilisation ponctuelle d'un lance-roquettes, pour laquelle on devra
placer la Wiimote sur son épaule afin de mimer le mouvement du soldat.
Ou encore ce moment où le joueur devra trouver la fréquence du QG allié
sur une radio allemande en inclinant la Wiimote comme s'il s'agissait
d'un des boutons de l'appareil. Plus classique, mais toujours aussi
sympathique, les lancers de grenade que vous devrez plus ou moins
effectuer comme on vous l'a appris lors des JAPD. Bon, il faudra aussi
compter avec quelques ratés, comme le corps-à-corps, pour lequel il
faudra balancer Wiimote et Nunchuk en avant afin de donner un coup de
crosse, et qui vous fera donc perdre votre réticule de vue. Bref,
stoppons-là cette description et déclarons simplement que malgré
quelques petits soucis, Medal of Honor : Heroes 2 est incontestablement
le FPS le plus jouable et le plus agréable à prendre en main de la Wii.
Le jeu parvient même, en termes de visée, à être plus précis que ses
congénères 360 ou PS3. Alors heureux ?
Ici, vous avez le choix entre un concert de Tokio Hotel et la voix suave de votre supérieur hiérarchique.Avant
de continuer et de parler de ce qui fait tout de même tout le charme de
cette galette, il me faut mentionner la présence d'un mode atypique
sobrement nommé Arcade, et qui vous permettra tout simplement de
retraverser les niveaux de la campagne à la mode Virtua Cop, ou Ghost
Squad pour faire référence à un titre Wii. Entendez par là que vous
n'aurez plus à gérer vos mouvements et que vous foncerez dans les
niveaux sur des rails, votre seul et unique but n'étant plus alors que
de shooter un maximum d'ennemis afin de figurer sur le tableau des
scores. Ce mode, que vous pourrez d'ailleurs pratiquer en usant du Wii
Zapper, n'est pas forcément très intéressant, puisqu'il repose sur des
bases qui n'ont pas été prévues pour ce type de gameplay. Reste qu'il
constitue malgré tout un bon divertissement, capable de nous faire
oublier pendant quelques minutes la désespérante platitude de la
campagne. Mais voilà, c'est n'est là qu'un petit à-côté, un petit bonus
sympathique destiné à vous distraire lors d'une coupure inattendue de
votre connexion internet...
Le mode Arcade vous invite à dégommer tout ce qui bouge dans la plus pure tradition des Virtua Cop. Les teutons en plus.Car
nous y voilà enfin dans ce fameux petit paragraphe que vous attendiez
tous, celui-là même où il sera question de joueurs qui s'éventrent
joyeusement sur le net dans un tourbillon d'entrailles fumantes et de
shrapnel. Oui, Medal Of Honor : Heroes 2 permet bien à 32 bourrins
avides de frags de se rencontrer sur le net. Certes, les trois modes
proposés ne font pas dans la dentelle, puisqu'il s'agira simplement de
captures de drapeaux et de matchs à mort en solo ou en équipe, mais
avec autant de joueurs dans les starting-blocks, on se retrouve avec un
titre qui pétarade de tous les côtés en excluant d'emblée tout temps
mort. Les parties prennent place sur des niveaux inspirés de ceux de la
campagne, des niveaux légèrement retouchés pour convenir aux parties
multijoueurs et qui s'avèrent relativement bien équilibrés. Avec un lag
modéré, des contrôles enfin réactifs et une action nettement plus
nerveuse que dans l'opus précédent, Medal Of Honor : Heroes 2 démontre
enfin que jouer online, à un FPS qui plus est, n'est pas seulement
réservé aux machines concurrentes. Mais tout n'est pas kaki au royaume
des troufions, car il est vrai que l'absence de chat vocal n'aide pas à
coordonner les assauts pendant les parties en équipe. Du coup, les
matchs ont souvent tendance à sombrer dans le chaos le plus total. Mais
les joueurs penseront-ils vraiment à s'en plaindre ?
- Editeur : Electronic Arts
- Développeur : Electronic Arts
- Type : FPS
- Support : DVD
- Multijoueurs : 2-32 joueurs en ligne
- Sortie France : 7 février 2008
(13 novembre 2007 aux Etats-Unis) - Classification : Déconseillé aux - de 16 ans
- Web : Site web officiel
FORCEDUMAL- Woa!
-
1611
48
19/11/2008
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