Grand Thef Auto sur DS
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FORCEDUMAL
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Re: Grand Thef Auto sur DS
ouais mais tant qu'à moi,si il a une vu comme sur ps2 les graphique vont en arracher et vive les bugs !Faut pas oublier que c'est une console portable
Re: Grand Thef Auto sur DS
Puis sur psp les gta sont comme le 3 et il en arrache pas alors en temps que fans je m'attend a avoir ce que sont compétiteur offre en puissance graphique
FORCEDUMAL- Woa!
-
1611
48
19/11/2008
Re: Grand Thef Auto sur DS
hein c'est bien hut !!!grand theft auto sur DS..c'ets mon frere qui va etre content de l'apprendre
Re: Grand Thef Auto sur DS
FORCEDUMAL a écrit:Puis sur psp les gta sont comme le 3 et il en arrache pas alors en temps que fans je m'attend a avoir ce que sont compétiteur offre en puissance graphique
ouais bon...je m'incline..t'as raison...j'ai plus d'arguments..
Re: Grand Thef Auto sur DS
Des machines contemporaines, seules les consoles
Nintendo composaient sans un GTA dans leur vitrine. Encouragés par la
qualité de leurs spin-off PSP, les développeurs de Rockstar Leeds
rectifient le tir en s'attaquant au support chatouilleux qu'est la DS.
Une console massivement grand public qui accueille une série
controversée et destinée à un public mâture... Le mélange est aussi
improbable qu'excitant...
Chinatown Wars. Le titre est aussi éloquent que possible. Il
renseigne à la fois sur le lieu de l'action, sur l'univers infiltré et
sur l'identité du héros. Retour à Liberty City, la ville de tous les
dangers, de tous les vices et de tous les trafics. Zoom sur les triades
chinoises, un monde que les joueurs de la série ont déjà tutoyé dans
GTA III. Enfin, bienvenue dans la peau de Huang Lee, un personnage qui
n'a rien en commun avec ses prédécesseurs, si ce n'est de voir son
profil se noircir à mesure qu'il se laisse engloutir par l'appât du
gain et par l'envie de vengeance. Lorsque le jeune asiatique débarque
dans ce New York à la sauce GTA, le joueur ne sait pas grand-chose de
lui. Tout juste a-t-il le temps de faire connaissance avec Huang qu'il
prend une balle dans la tête avant d'être laissé pour mort au fond des
eaux de Liberty City. Le héros a par chance, et après avoir matraqué
l'écran du bas de la console pour briser la vitre de la voiture dans
laquelle il est prisonnier, réussi à s'en tirer. Parachuté au milieu
d'un conflit d'intérêts, il vient de perdre l'épée antique qu'il devait
livrer à son oncle, un sésame qui devait permettre à ce dernier de
prendre le contrôle des triades. Son père décédé, Huang va tenter de le
venger tout en assurant ses arrières en enchaînant les missions pour le
tout Chinatown, tel un électron libre. Du grand classique.
L'écran du haut se concentre sur l'action, celui du bas sur tout le reste.Les
événements de Chinatown Wars ont lieu en même temps que ceux de GTA IV.
Quelques rares références le confirment rapidement au joueur, toujours
aussi finement. En plus de rendre une nouvelle fois hommage à Liberty
City, cet opus est une sorte de retour aux sources puisque, support
oblige, il se déroule en vue de dessus. In game, l'écran du haut de la
DS se concentre sur l'action pendant que celui du bas regroupe un zoom
de la map ainsi que les informations "vitales" telles que le niveau de
santé du joueur, son stock de munitions ou encore l'argent dont il
dispose. Un écran du bas qui servira également de diffuseur pour les
cinématiques et bien sûr, à interagir avec des objets ou à dévérouiller
certains accès, stylet en main. Pour ainsi dire, la lisibilité de
l'action est parfaite d'autant que les options permettent de
personnaliser quelque peu l'ATH. Par exemple, il est possible
d'afficher le radar, le GPS ou la jauge de vie sur l'écran du haut,
afin de posséder ces informations sans avoir à quitter l'action des
yeux. La caméra de son côté, suit le joueur comme son ombre, de sorte à
effectuer une rotation à chaque coup de volant. Idéal pour les
courses-poursuites. A pied cette fois, c'est à l'utilisateur qu'il
incombe de la replacer derrière lui à chaque fois qu'il le juge utile,
en appuyant sur L. Concrètement, les déplacements, la navigation et le
rendu de l'action nous permettent d'affirmer que tout a été pensé en
fonction du support et qu'il est bien difficile de trouver le moindre
défaut majeur à ce niveau.
La map de Libery City a exactement le même profil que celle de GTA IV.Si
les bases du gameplay que sont les gunfights et les vols de voitures
ressemblent de près aux mécanismes ultra connus des précédents GTA, les
actions plus secondaires s'effectuent quant à elles à l'aide du stylet.
L'écran du bas va par exemple servir à voler une voiture à l'arrêt.
Pour démarrer le véhicule, Huang va devoir ouvrir un panneau en
retirant des vis puis brancher un PDA lui permettant de pirater le code
de l'anti-démarrage avant de connecter des fils dénudés pour lancer le
moteur. Idem pour tout un tas d'autres actions, comme le désamorçage de
bombes, la fouille de véhicules ou de poubelles pour y trouver de
l'argent ou de la drogue ou même la fabrication de cocktails molotov.
En effet, en se rendant à une station, le joueur peut remplir des
bouteilles d'essence pour se fabriquer ses propres projectiles. Pour ce
faire, il pointe le stylet sur le pistolet depuis lequel le liquide
gicle aléatoirement. La principale difficulté consiste à viser le plus
précisément possible puisque le joueur ne peut arrêter le débit sans
lâcher le pistolet. Les exemples de ce genre ne manquent pas mais
interviennent à bon escient, histoire de ne pas pourrir le gameplay de
"mini-jeux" incessants. Un autre exemple du soin apporté à
l'exploitation intelligente des fonctionnalités de la console portable.
Chinatown Wars ou comment rendre ludique ce qui ne l'est pas
franchement à la base !
Des dialogues d'une rare profondeur et emplis de philosophie.Tout
joueur de GTA a l'habitude, au début de l'aventure, de devoir fouiner
ça et là pour trouver des sources de rémunération, qu'elles soient
clean ou non. C'est également le cas dans Chinatown Wars mais les
récompenses pécuniaires quelque peu radines après le succès des
missions le contraint à surveiller ses comptes tout au long de
l'histoire. Cela aurait pu être un problème mais les développeurs du
jeu l'ont semble-t-il voulu comme tel puisque ce point du gameplay
permet de mettre en lumière le trafic de drogue. Élément essentiel de
la progression du joueur, celui-ci lui permet, si tant est que vous
ayez un peu de sang de commercial sans pitié qui coule dans vos veines,
de garnir son compte de sommes parfois très importantes. Depuis les
options de la map, l'utilisateur accède à tout un tas d'informations
sur les dealers qui squattent les ruelles les plus sombres de Liberty
City pour faire leur business. Pour commencer un trafic, il faut dans
un premier temps acheter des doses. Blanche, coke, taz, LSD, beuh,
calmants... Toutes les poudres ou cachetons qui font halluciner sont au
rendez-vous. A vous ensuite d'utiliser les données de votre PDA pour
refourguer la camelote au plus offrant et plus en manque, avant de
réinvestir chez celui qui fait les meilleurs prix. Commence alors un
commerce qui n'a pas de fin et qui peut rapporter très gros. Répartis
un peu partout sur la map, les dealers refuseront en revanche de
traiter avec vous si vous êtes pistés par les flics. Des flics qui
pourront vous surprendre à tout moment. C'est le prix à payer. Enfin,
sachez que vous pourrez toujours tenter de vous faire un peu de blé
autrement, en jouant à des jeux de grattage, en livrant des nouilles ou
en accomplissant les missions taxi/ambulance/police.
Pour acheter vos armes, braquez des fourgons ou commandez-les par Internet.La
police, parlons-en. S'il est de coutume de la semer en s'éloignant de
la zone de recherche dans GTA IV, la confrontation est beaucoup plus
directe dans Chinatown Wars. Certes, les Pay'n'Spray existent toujours
et moyennant une petite contribution, vous permettent de changer de
peinture pour passer incognito. Mais il existe un moyen plus brutal de
se débarrasser des forces de l'ordre : en anéantissant leurs unités.
Pour cela, le joueur doit ruser et attirer ses poursuivants vers des
obstacles qui peuvent être des véhicules tiers afin de créer des
accidents. En parallèle, pour faire baisser son indice de recherche
d'une seule étoile, Huang doit éliminer autant de voitures de police
qu'il a d'étoiles. Par exemple, pour trois étoiles de recherche, il lui
faut anéantir six unités (3+2+1). Cela a pour conséquence directe de
donner naissance à des courses poursuites qui durent, bien que
l'agressivité des flics puissent être facilement contenu. En revanche,
s'ils parviennent à vous déloger de votre poste de conduite, minces
sont les chances d'en réchapper. Au final, on apprécie que Rockstar ait
pensé à une nouvelle façon de s'ôter l'épine flic du pied dans
Chinatown Wars, sans doute plus adaptée à la taille de la map
(logiquement petite comparée à de la map de Liberty City de GTA IV mais
véritablement immense pour un jeu DS) qu'un découpage en zones de
recherche.
Les actions secondaires se transforment en "mini-jeux" tout au stylet.Les
deux éléments que nous venons d'aborder, à savoir le trafic de drogue
et les courses-poursuites avec la police contribuent au rythme assez
élevé de l'aventure. Pour ainsi dire, on ne voit guère le temps passer,
bien que la map soit immense et calquée de près sur le modèle GTA IV de
Liberty City. Toutefois, Chinatown Wars n'est pas parfait et toussote
quelques petits défauts qui ne suffisent cependant pas à lui enlever sa
qualité de jeu exceptionnel. On pense notamment à quelques phases
durant lesquelles le stylet s'avère peu précis, au moment de lancer un
projectile par exemple ou lorsque l'on peine à utiliser l'écran du bas
en pleine action. En effet, votre pouce gauche sur la croix
directionnelle, le droit sur les touches d'action, il peut être bien
compliqué d'attraper le stylet pour switcher d'arme ou pour effectuer
un massage cardiaque sur le mourant que vous transportez et qui
supporte mal les secousses. Autre imperfection récurrente, l'étroitesse
des rues de Liberty City qui débouche sur une conduite manquant de
fluidité tant il est difficile d'éviter de rentrer fréquemment dans le
trafic. La direction assistée (désactivable) tente bien de remédier à
ce problème en replaçant automatiquement votre véhicule parallèlement à
la route mais sans totale réussite. Enfin, on regrette que les
conversations entre Huang et les autres protagonistes du jeu se
contentent de dialogues écrits et ne soient pas doublés, ce qui est
sans doute lié au support, un peu limité dans cet exercice.
Saurez-vous assemblez un fusil de sniper sans le monter à l'envers ?GTA
: Chinatown Wars comprend également un mode multijoueur à deux qui
nécessite de posséder deux cartouches. Composé de quatre modes de jeu,
celui-ci s'inspire vaguement de ce qui se fait sur consoles de salon.
Deux d'entre eux sont orientés courses, les principales variations
concernant la façon dont on peut gagner une épreuve, avec ou sans item,
en tuant ou non ses adversaires. Ce multi propose également un mode
Course au Butin. Composé de cinq scénarios, celui-ci consiste à braquer
un fourgon rempli de drogue après qu'il ait apparu aléatoirement sur la
map, puis de le conduire jusqu'à votre propre planque. Enfin, le
dernier larron répond au nom de Défense de la base. Il s'agit
évidemment de repousser des vagues d'ennemis successives qui se font de
plus en plus intenses. Ce mode présente un grand intérêt dans la mesure
où c'est le seul qui permette à deux joueurs de coopérer à travers huit
scénarios. La valeur ajoutée du multi n'atteint pas forcément des
sommets mais au final, Chinatown Wars est immensément riche et prenant
en solo et s'impose comme l'un des jeux DS les plus profonds que la
machine ait connu jusqu'à présent.
Les notes
Nintendo composaient sans un GTA dans leur vitrine. Encouragés par la
qualité de leurs spin-off PSP, les développeurs de Rockstar Leeds
rectifient le tir en s'attaquant au support chatouilleux qu'est la DS.
Une console massivement grand public qui accueille une série
controversée et destinée à un public mâture... Le mélange est aussi
improbable qu'excitant...
Chinatown Wars. Le titre est aussi éloquent que possible. Il
renseigne à la fois sur le lieu de l'action, sur l'univers infiltré et
sur l'identité du héros. Retour à Liberty City, la ville de tous les
dangers, de tous les vices et de tous les trafics. Zoom sur les triades
chinoises, un monde que les joueurs de la série ont déjà tutoyé dans
GTA III. Enfin, bienvenue dans la peau de Huang Lee, un personnage qui
n'a rien en commun avec ses prédécesseurs, si ce n'est de voir son
profil se noircir à mesure qu'il se laisse engloutir par l'appât du
gain et par l'envie de vengeance. Lorsque le jeune asiatique débarque
dans ce New York à la sauce GTA, le joueur ne sait pas grand-chose de
lui. Tout juste a-t-il le temps de faire connaissance avec Huang qu'il
prend une balle dans la tête avant d'être laissé pour mort au fond des
eaux de Liberty City. Le héros a par chance, et après avoir matraqué
l'écran du bas de la console pour briser la vitre de la voiture dans
laquelle il est prisonnier, réussi à s'en tirer. Parachuté au milieu
d'un conflit d'intérêts, il vient de perdre l'épée antique qu'il devait
livrer à son oncle, un sésame qui devait permettre à ce dernier de
prendre le contrôle des triades. Son père décédé, Huang va tenter de le
venger tout en assurant ses arrières en enchaînant les missions pour le
tout Chinatown, tel un électron libre. Du grand classique.
L'écran du haut se concentre sur l'action, celui du bas sur tout le reste.Les
événements de Chinatown Wars ont lieu en même temps que ceux de GTA IV.
Quelques rares références le confirment rapidement au joueur, toujours
aussi finement. En plus de rendre une nouvelle fois hommage à Liberty
City, cet opus est une sorte de retour aux sources puisque, support
oblige, il se déroule en vue de dessus. In game, l'écran du haut de la
DS se concentre sur l'action pendant que celui du bas regroupe un zoom
de la map ainsi que les informations "vitales" telles que le niveau de
santé du joueur, son stock de munitions ou encore l'argent dont il
dispose. Un écran du bas qui servira également de diffuseur pour les
cinématiques et bien sûr, à interagir avec des objets ou à dévérouiller
certains accès, stylet en main. Pour ainsi dire, la lisibilité de
l'action est parfaite d'autant que les options permettent de
personnaliser quelque peu l'ATH. Par exemple, il est possible
d'afficher le radar, le GPS ou la jauge de vie sur l'écran du haut,
afin de posséder ces informations sans avoir à quitter l'action des
yeux. La caméra de son côté, suit le joueur comme son ombre, de sorte à
effectuer une rotation à chaque coup de volant. Idéal pour les
courses-poursuites. A pied cette fois, c'est à l'utilisateur qu'il
incombe de la replacer derrière lui à chaque fois qu'il le juge utile,
en appuyant sur L. Concrètement, les déplacements, la navigation et le
rendu de l'action nous permettent d'affirmer que tout a été pensé en
fonction du support et qu'il est bien difficile de trouver le moindre
défaut majeur à ce niveau.
La map de Libery City a exactement le même profil que celle de GTA IV.Si
les bases du gameplay que sont les gunfights et les vols de voitures
ressemblent de près aux mécanismes ultra connus des précédents GTA, les
actions plus secondaires s'effectuent quant à elles à l'aide du stylet.
L'écran du bas va par exemple servir à voler une voiture à l'arrêt.
Pour démarrer le véhicule, Huang va devoir ouvrir un panneau en
retirant des vis puis brancher un PDA lui permettant de pirater le code
de l'anti-démarrage avant de connecter des fils dénudés pour lancer le
moteur. Idem pour tout un tas d'autres actions, comme le désamorçage de
bombes, la fouille de véhicules ou de poubelles pour y trouver de
l'argent ou de la drogue ou même la fabrication de cocktails molotov.
En effet, en se rendant à une station, le joueur peut remplir des
bouteilles d'essence pour se fabriquer ses propres projectiles. Pour ce
faire, il pointe le stylet sur le pistolet depuis lequel le liquide
gicle aléatoirement. La principale difficulté consiste à viser le plus
précisément possible puisque le joueur ne peut arrêter le débit sans
lâcher le pistolet. Les exemples de ce genre ne manquent pas mais
interviennent à bon escient, histoire de ne pas pourrir le gameplay de
"mini-jeux" incessants. Un autre exemple du soin apporté à
l'exploitation intelligente des fonctionnalités de la console portable.
Chinatown Wars ou comment rendre ludique ce qui ne l'est pas
franchement à la base !
Des dialogues d'une rare profondeur et emplis de philosophie.Tout
joueur de GTA a l'habitude, au début de l'aventure, de devoir fouiner
ça et là pour trouver des sources de rémunération, qu'elles soient
clean ou non. C'est également le cas dans Chinatown Wars mais les
récompenses pécuniaires quelque peu radines après le succès des
missions le contraint à surveiller ses comptes tout au long de
l'histoire. Cela aurait pu être un problème mais les développeurs du
jeu l'ont semble-t-il voulu comme tel puisque ce point du gameplay
permet de mettre en lumière le trafic de drogue. Élément essentiel de
la progression du joueur, celui-ci lui permet, si tant est que vous
ayez un peu de sang de commercial sans pitié qui coule dans vos veines,
de garnir son compte de sommes parfois très importantes. Depuis les
options de la map, l'utilisateur accède à tout un tas d'informations
sur les dealers qui squattent les ruelles les plus sombres de Liberty
City pour faire leur business. Pour commencer un trafic, il faut dans
un premier temps acheter des doses. Blanche, coke, taz, LSD, beuh,
calmants... Toutes les poudres ou cachetons qui font halluciner sont au
rendez-vous. A vous ensuite d'utiliser les données de votre PDA pour
refourguer la camelote au plus offrant et plus en manque, avant de
réinvestir chez celui qui fait les meilleurs prix. Commence alors un
commerce qui n'a pas de fin et qui peut rapporter très gros. Répartis
un peu partout sur la map, les dealers refuseront en revanche de
traiter avec vous si vous êtes pistés par les flics. Des flics qui
pourront vous surprendre à tout moment. C'est le prix à payer. Enfin,
sachez que vous pourrez toujours tenter de vous faire un peu de blé
autrement, en jouant à des jeux de grattage, en livrant des nouilles ou
en accomplissant les missions taxi/ambulance/police.
Pour acheter vos armes, braquez des fourgons ou commandez-les par Internet.La
police, parlons-en. S'il est de coutume de la semer en s'éloignant de
la zone de recherche dans GTA IV, la confrontation est beaucoup plus
directe dans Chinatown Wars. Certes, les Pay'n'Spray existent toujours
et moyennant une petite contribution, vous permettent de changer de
peinture pour passer incognito. Mais il existe un moyen plus brutal de
se débarrasser des forces de l'ordre : en anéantissant leurs unités.
Pour cela, le joueur doit ruser et attirer ses poursuivants vers des
obstacles qui peuvent être des véhicules tiers afin de créer des
accidents. En parallèle, pour faire baisser son indice de recherche
d'une seule étoile, Huang doit éliminer autant de voitures de police
qu'il a d'étoiles. Par exemple, pour trois étoiles de recherche, il lui
faut anéantir six unités (3+2+1). Cela a pour conséquence directe de
donner naissance à des courses poursuites qui durent, bien que
l'agressivité des flics puissent être facilement contenu. En revanche,
s'ils parviennent à vous déloger de votre poste de conduite, minces
sont les chances d'en réchapper. Au final, on apprécie que Rockstar ait
pensé à une nouvelle façon de s'ôter l'épine flic du pied dans
Chinatown Wars, sans doute plus adaptée à la taille de la map
(logiquement petite comparée à de la map de Liberty City de GTA IV mais
véritablement immense pour un jeu DS) qu'un découpage en zones de
recherche.
Les actions secondaires se transforment en "mini-jeux" tout au stylet.Les
deux éléments que nous venons d'aborder, à savoir le trafic de drogue
et les courses-poursuites avec la police contribuent au rythme assez
élevé de l'aventure. Pour ainsi dire, on ne voit guère le temps passer,
bien que la map soit immense et calquée de près sur le modèle GTA IV de
Liberty City. Toutefois, Chinatown Wars n'est pas parfait et toussote
quelques petits défauts qui ne suffisent cependant pas à lui enlever sa
qualité de jeu exceptionnel. On pense notamment à quelques phases
durant lesquelles le stylet s'avère peu précis, au moment de lancer un
projectile par exemple ou lorsque l'on peine à utiliser l'écran du bas
en pleine action. En effet, votre pouce gauche sur la croix
directionnelle, le droit sur les touches d'action, il peut être bien
compliqué d'attraper le stylet pour switcher d'arme ou pour effectuer
un massage cardiaque sur le mourant que vous transportez et qui
supporte mal les secousses. Autre imperfection récurrente, l'étroitesse
des rues de Liberty City qui débouche sur une conduite manquant de
fluidité tant il est difficile d'éviter de rentrer fréquemment dans le
trafic. La direction assistée (désactivable) tente bien de remédier à
ce problème en replaçant automatiquement votre véhicule parallèlement à
la route mais sans totale réussite. Enfin, on regrette que les
conversations entre Huang et les autres protagonistes du jeu se
contentent de dialogues écrits et ne soient pas doublés, ce qui est
sans doute lié au support, un peu limité dans cet exercice.
Saurez-vous assemblez un fusil de sniper sans le monter à l'envers ?GTA
: Chinatown Wars comprend également un mode multijoueur à deux qui
nécessite de posséder deux cartouches. Composé de quatre modes de jeu,
celui-ci s'inspire vaguement de ce qui se fait sur consoles de salon.
Deux d'entre eux sont orientés courses, les principales variations
concernant la façon dont on peut gagner une épreuve, avec ou sans item,
en tuant ou non ses adversaires. Ce multi propose également un mode
Course au Butin. Composé de cinq scénarios, celui-ci consiste à braquer
un fourgon rempli de drogue après qu'il ait apparu aléatoirement sur la
map, puis de le conduire jusqu'à votre propre planque. Enfin, le
dernier larron répond au nom de Défense de la base. Il s'agit
évidemment de repousser des vagues d'ennemis successives qui se font de
plus en plus intenses. Ce mode présente un grand intérêt dans la mesure
où c'est le seul qui permette à deux joueurs de coopérer à travers huit
scénarios. La valeur ajoutée du multi n'atteint pas forcément des
sommets mais au final, Chinatown Wars est immensément riche et prenant
en solo et s'impose comme l'un des jeux DS les plus profonds que la
machine ait connu jusqu'à présent.
Les notes
- Graphismes 17/20
Dans de bonnes mains, la DS prouve qu'elle est capable de
performances techniques tout à fait bluffantes. A deux ou trois
exceptions près, l'animation est superbement fluide et Liberty City
constamment en mouvements. Le cycle jour/nuit est tout à fait réussi et
le style graphique colle parfaitement à l'univers de Chinatown et des
triades. Huang n'est certes, pas le personnage le plus charismatique
qui soit mais gageons que peu de héros lui arrivent à la cheville sur
DS. - Jouabilité 18/20
Chinatown Wars combine toutes les qualités nécessaires à faire un
bon jeu DS : lisibilité de l'action exemplaire, interface extrêmement
travaillée et écran tactile intelligemment utilisé. Ajoutez à cela un
gameplay accrocheur et bien pensé et vous obtenez une référence
absolue, tous genres confondus sur la console portable. Les quelques
petits défauts, notamment liés à la complexité de l'utilisation
simultanée de trois fonctions, seront rapidement digérés par le joueur. - Durée de vie 16/20
Comptez une douzaine d'heures pour faire un tour complet de la
question en solo. En bonus, les quatre modes du multijoueur permettront
à deux possesseurs du jeu de s'en donner à cœur joie, dans des courses
ou des missions en duel ou en coopération. Le cocktail est extrêmement
riche et profondément captivant. - Bande son 16/20
Comme c'est de tradition, les radios offrent un son varié et de
qualité. L'action profite elle aussi du savoir-faire des équipes de
Rockstar pour s'accompagner de bruitages qui, au casque, se rapprochent
du top niveau sur DS. Dommage que les dialogues demeurent muets ! - Scénario 15/20
Sans doute un peu moins travaillé que le dernier GTA, le scénario de
Chinatown Wars laisse davantage de place à l'humour et au second degré.
Les échanges tournent rapidement à la multiplication de sarcasmes, via
des caricatures absolument hilarantes. - Note Générale 18/20
Il aura suffi d'une tentative aux équipes de Rockstar pour réussir
le mariage au départ improbable entre une série adulte et une machine
coutumière du casual gaming. Sublimée, la DS récite ses gammes sans
accroc, parfaitement exploitée par un gameplay qui mixe intelligemment
des mécanismes de jeu classiques et d'autres propres à la console de
Nintendo. Chinatown Wars sait se montrer novateur et surprenant en
dépit du fait qu'il se déroule dans une ville que tout joueur de la
série connaît désormais sur le bout des doigts. A n'en pas douter, s'il
faut choisir un jeu d'action/aventure sur DS, c'est celui-là.
Dernière édition par FORCEDUMAL le Ven 20 Mar - 17:50, édité 1 fois
FORCEDUMAL- Woa!
-
1611
48
19/11/2008
Re: Grand Thef Auto sur DS
FORCEDUMAL- Woa!
-
1611
48
19/11/2008
Re: Grand Thef Auto sur DS
ca doit ressembler au autre pris en général...moi je dit a peut-pret 40 $$$
Re: Grand Thef Auto sur DS
ok ! mais je connais pas sa beaucoup mais les nouveautée en général sont plus cher au départ !
Re: Grand Thef Auto sur DS
c'est sur qui faut y penser 2 fois pi au pire t'attend quelques mois apres sa va etre moin cher.
Re: Grand Thef Auto sur DS
oui je sais,je me suis procurer mario kart sur gamecube comme ça ..et d'autre jeux aussi,mais je m'en rappelle plus de tous...
Re: Grand Thef Auto sur DS
ok ! c'est sur que sa fait economiser de l'$$$ mais quand ta trop hate...beh cest le portefeuille qui en mange un coup !
Re: Grand Thef Auto sur DS
bof,disons que j'achete pas grand jeux a l'état neuf alors ça change presque rien
Re: Grand Thef Auto sur DS
tant qu' a sa c'est vrai que sa change rien mais GTA sa me tente pu vraiment SURTOUT CES TEMPS CITES """
Re: Grand Thef Auto sur DS
peut etre parce qu'il pensait aimé ça mais finalement,il trippe pas fort sur ça
Re: Grand Thef Auto sur DS
a okay ! moi mon petit frere la et des fois je joue..mais je me promene plus en char dnas la ville que faure desm issions mais bon !!! lOl
Re: Grand Thef Auto sur DS
moi aussi,je me fait apparaitre des véhicules et oupla j'ai du fun durant des heurs...mais j'achève san andreas dans pas long là...
Re: Grand Thef Auto sur DS
Moi gta j'ai décrocher depuis longtemps avec les dernier driver et autre du genre du meme style que gta et pour certain mieux j'opte pour driver plutôt en vf mon driver parallèle ligne sur wii est réellement excellent et captivant .
FORCEDUMAL- Woa!
-
1611
48
19/11/2008
Page 2 sur 4 • 1, 2, 3, 4
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